Nom + Boswel Prénom(s) + Evanna Métier + Barmaid au CarrouselRang + Jeune membre de la Meute, une Bêta dominée. Allégeance + Evanna n'est encore qu'une très jeune louve et n'a pas connu la guerre et la libération des Lycans. Elle n'en observe que le résultat et entend ce qu'on veut bien lui en raconter. En tant que louve et fière de l'être, elle consacre la majorité de son temps et de son énergie à sa Meute à laquelle elle est très attachées. Elle considère chaque membre de sa famille. En règle générale, elle respecte les règles et les ordres sans trop broncher, en générale... Car son coté dominant, même si c'est une bêta, lui a déjà causé du tord. Sans forcément chercher la bagarre, elle n'hésite pas à questionner et remettre en question un ordre qu'elle ne comprendra pas ou qui ira à l'encontre de ses idées. Bien qu'au final toujours respectueuse, elle se pose tout de même des questions sur la légitimité d'un tel plutôt qu'un tel. Esprit libre, elle éprouve certaine difficultés à suivre aveuglément. Traits de caractère + Paradoxale, on ne sait pas trop sur quel pied danser avec Evanna. Elle n'ont plus d'ailleurs. C'est une fille à l'allure forte, provocante et impétueuse. Aux premiers abords, elle semble rebelle, éprit de liberté et souvent dans l'excès. Pourtant sous ce masque décoincé ce cache une jeune louve perdue et paumée qui tente de survivre et de trouver sa place parmi les siens. Au fond, elle courbe les chines, opportunisme ou tout simplement peur primaire?

-Se transforme en une magnifique Louve svelte, environ 1m10 au garrot, une fourrure dorée, d'un blond très clair parsemé de blanc avec des poils particulièrement longs au poitrail et sur la queue.
-Claustrophobe
-Fume et boit beaucoup
-Joue de la guitare, du piano et chante
-Insomniaque
-Aime monter sur les toits pour regarder le ciel toute la nuit jusqu'au levé du jour
-Fan des groupes de rock des années 70/80
-Fasciné par les danses traditionnelles
-Possède une collection importante de Vinyles
-Adore sentir le contact de la fourrure contre son visage (forme humaine)
-Aime jouer avec son briquet en passant sa main dans la flamme
-Pousse un petit glapissement quand elle est surprise, nerveuse ou mal à l'aise.

Pseudonyme + Virkron Âge + 22 ansFréquence de connexion + Environ 3-4 jours par semaineGroupe +  Lycanthropes Crédits + Moi même (avatar) // gif de almosthuman sur tumblr, avatar de purple rain[/i]

Code:

[color=crimson][b]Taylor Momsen[/b] • Evanna Boswell[/color]

Tout est si différent ces soirs de pleine lune. Tu te sens revivre et sors de ta routine monotone et cruelle. Tu tends l'oreille et hume le fond de l'air, la proie n'est plus très loin. Tu sens ton corps battre la chamade dans ta poitrine, ton pelage frisonne un bref instant. Tu restes tapi dans les fourrés, attendant le moment propice, le signal. Tu es euphorique et as du mal à contenir ton impatience, le grand loup brun à coté de toi le sent bien et d'un grognement sec te fait comprendre de te calmer. Comme réponse, tu baisses les oreilles et pousse un petit glapissement en retroussant tes babines. Pourtant ton cœur continue de s'emballer. Pourtant, ce n'est pas ta première chasse de pleine lune, mais chaque fois, tu redeviens une petite louve impatiente et excitée qui n'a qu'une hâte, foncer et courir, bondir vers la proie. Ce qui t'amuses, ce n'est pas tellement le butin, la prise, c'est tout ce qu'il y a autour. La traque, la course poursuite, l'organisation en équipe, être comme en quelque sorte connecter avec les siens. Durant une chasse, chaque membre à son importance, chacun est à sa place et c'est le collectif qui permet la victoire. La chasse de Pleine Lune, c'est l'un des rares moments où tu sens réellement ta place au sein de la Meute, que tu contribue à quelque chose qui te dépasse. Tu n'as plus le temps de réfléchir à sa, l'assaut est donné. Tu t'élances avec deux autres loups à tes cotés, tu veilles tout de même à garder ta position et te freine pour ne pas partir comme une furie. C'est peut être le seul inconvénient, même lors d'un assaut, chacun à sa place, sa position à maintenir, personne ne doit aller plus vite ou plus lentement que ce qui lui a été imposé, seul l'Ulfric à se privilège. La traque continue, pour le moment, il s'agit d'effrayer la proie et de la guider là où il est prévu qu'elle se rende. Tes grands yeux d'un bleu pâle scrutent l'obscurité, tu as du mal à tout analyser, courir, veiller à sa position, anticiper ce qui se passe...C'est beaucoup d'information à traiter. Tu n'as pas le temps de dire ouf, que le lycan sur ta gauche bifurque et te pousse violemment vers la droite. Un tournant, tu ne l'avais pas vu venir. Il te donne un coup de patte pour te réprimer ton manque d'observation. Tu baisses les oreilles et la tête en signe d'excuse. Les mauvaises habitudes ont la vie dure. Tu le sens bien que la plus part des Lycans âgées, ceux qui ont vécus la grande guerre, ne te pardonne pas ta désinvolture et ta jeunesse. Tu es née en haut, n'a jamais rien connu d'autre et tu es encore très jeune. Une sorte de poids pour la meute, une louve qui tarde trop à être opérationnelle. Pourtant, tu essayes de faire de ton mieux, mais aller comprendre pourquoi, il y a constamment cette petite voix dans sa tête qui la pousse toujours à savoir le comment du pourquoi de chaque ordre...
Tu es coupé dans ton introspection, l'humain vient de bondir juste devant vous, hurlant et gesticulant dans tous les sens. Les deux autres se poste sur leurs pattes et montrent les crocs, aboyant et grognant pour l'effrayer. Alors que tu t'apprêtes à faire de même, ton regard croise celui de la victime. Tu hésites, encore cette question, Pourquoi ? Mais sans avoir de réponse, tu voix déjà le Norme partir, allant droit là où il doit aller pour que se finisse cette chasse, dans son sang et ses cris. Ton petit moment d'hésitation à été perçu par les autres. Un simple regard et tu comprends que tu vas morflé tout à l'heure. Pour le moment, on reste concentré, la chasse n'est pas terminée...


Tu t'essuies la bouche d'un revers de manche, encore toute fiévreuse de douleur. La transformation ce n'est vraiment pas une partie de plaisir. Surtout quand tu viens de te faire réprimander par l'Ulfirc en personne pour ton manque d'attention et d'implication durant la chasse. Cette fois, tu as bien compris que si tu voulais vraiment gagner ta place dans cette Meute, il allait falloir mettre les bouchées double. Tu ébouriffes machinalement ta longue chevelure blonde, attrapes ton sac posé sur le sol et en sort une petite trousse de maquillage. En quelques petites minutes seulement, te voilà parée de fond de teint, de phare à paupière et de crayon noirs, sans oublier une petite touche de rouge à lèvre d'un rose pastel. Tu essuies quelques gouttes de sueurs qui perlent sur ton front et inspire profondément. Tu sens encore un os se remettre en place, se qui t'arrache une grimace de douleur et de dégoût. Puis tu lèves tes yeux au ciel, tu aimes observer ce ciel sans nuage, avec la lune et toutes ces étoiles qui semblent la courtiser. Tu souris légèrement car tu ne peux t'empêcher de faire le lien avec ta Meute. L'Ulfric, c'est un peu comme la pleine lune, celui qui perse l'obscurité entière du ciel, mais ce sont toutes ces petites étoiles scintillantes qui rendent cette nuitée moisn sombre, vide et froide. Tu te sens dans ta meute un peu comme une de ces petites étoiles, prise dans un vertige face à l'immensité. Tu voix une étoile filante et tu rigoles, comme si les astres venaient de te faire un clin d’œil. Au fond c'est peut être ce que tu es, une étoile qui n'a pas encore d'attache, qui à du mal à se fixer et à trouver sa place parmi les autres étoiles...Mais il va bien falloir, si tu ne veux pas disparaître comme cette commette.


Tu rentres chez toi, ton petit studio miteux qui ne paye pas de mine, mais tu t'y sens bien. Tu enlèves ta veste et pose ton sac dans l'entrée. Tu enlèves tes chaussures tout en avançant et les balances dans un coin d'un coup de cheville. Tu n'allumes pas la lumière, celle de la lune passant par la fenêtre suffit. Machinalement tu vas jusqu'à la commode sur lequel est posé ton Tourne disque et d'un geste de doigt délicat, tu le mets en marche. Le petit crissement singulier se fait entendre et la musique commence, Riders on the storm des Doors commence. Tu te déhanches doucement, calant tes mouvements sur le rythme de la musique, tu fermes tes yeux et chantonnes à mi-voix les paroles, en chœur. Tu oublies alors tout un bref instant. La Meute, la chasse, la douleur, l'incertitude, seule la liberté reste.