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 « Alors quoi, je te manquais ? [Pv Ethan]

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Alena Hodson
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Alena Hodsondrag my teeth across your chest to taste your beating heart ƒ 1




Pseudonyme : Drathir
En ville depuis le : 22/01/2015
Nombre d'insultes postées : 62
Crédits : Avatar (c) Arté ; sign' (c) crackle bones
Célébrité : Sara Fabel
Âge du personnage : 251 ans ▬ 29 ans d'apparence
Métier : Tatoueuse


MANUSCRIT D’ÉMERAUDE
Orientation : Loyal neutre
Statut : Bêta dominée
Capacités et inventaire :

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Message« Alors quoi, je te manquais ? [Pv Ethan] EmptyDim 1 Fév 2015 - 4:18

Ethan ∞ Alena

So hold me when I'm here,right me when I'm wrong. Hold me when I'm scared and love me when I'm gone. Everything I am and everything in me, wants to be the one you wanted me to be. I'll never let you down, even if I could. I'd give up everything if only for your good, so hold me when I'm here, right me when I'm wrong.You can hold me when I'm scared. You won't always be there. So love me when I'm gone
Le soupir menace déjà de lui échapper, pourtant la louve se retient in extremis dans un élan de lucidité, se contentant de se reculer quelque peu pour laisser sa victime du jour pleurnicher sur son sort. Les pauses se multipliaient et plus les minutes passaient plus la jeune femme se sentait à deux doigts de jeter l’éponge et de lui conseiller de revenir une autre fois, ou de réduire l’ampleur du tatouage qu’il venait de réclamer. Inconscient, trop sûr de lui, peu importait les raisons mais son client du moment était tout bonnement incapable d’encaisser la douleur, couinant régulièrement sous l’assaut des aiguilles et invoquant tout aussi souvent un Dieu dont elle ne connaissait rien si ce n’est l’importance que certains Normes pouvaient lui accorder. Et après ça monsieur voulait un dragon sur tout le dos. La bonne blague. Alena ne commente pas toutefois, ayant assez vite compris que le client était roi dans cette société humaine quelque peu moisi. Vachement hypocrite, aussi, mais il fallait bien faire avec. Au moins, dans sa souffrance, le brun à ses pieds avait le mérite de l’amuser bien qu’elle n’en laisse rien paraître. L’entendre couiner comme une souris lui rappelait à quel point elle jugeait sa race inférieure, beaucoup trop fragile à son goût bien qu’ils aient le don d’attiser sa curiosité. Comme n’importe quelle culture qu’elle ne craint pas, probablement. En tous les cas, la lycan le laissa souffler quelques secondes avant de se pencher de nouveau sur son dos, reprenant son travail sans un mot. Ezechiel aurait probablement aimé être là, à se réjouir de la douleur éprouvée par l’humain, humant cette ambiance apeurée qui émanait de l’ensemble des pores de la victime du moment. Force était d’admettre que la louve possédait un contrôle indéniable pour son âge, au vu des circonstances également, à toiser le sang sans éprouver un quelconque appétit, imaginer la nuque du jeune homme se briser sous ses crocs sans pour autant passer à l’acte. L’habitude avait ça de bon qu’elle passait outre ses pulsions la majeure partie du temps, ne se retrouvant sur le point de craquer que lorsque de quelconques émotions fortes s’ajoutaient à l’équation. Et dans ce cas, valait mieux obéir lorsqu’elle se mettait à gueuler contre son client, lui ordonnant de foutre le camp tout en sachant pertinemment qu’il ne reviendrait pas de sitôt, ce qui avait ses avantages toutefois. Une mauvaise pub de temps à autre lui permettait d’éviter que trop de Normes ne viennent la voir. Trop d’humains c’était des questions à gogo et une possibilité pour eux de découvrir qu’elle ne vieillissait définitivement pas au même rythme qu’eux.

Quoi qu’il en soit, alors que la blonde poursuivait son œuvre et achevait de tracer les contours du dessin sur la peau du Norme, elle fut interrompue par la visite d’un inconnu, ce qui l’incita à lever les yeux, se détournant ainsi de son travail l’espace d’un instant. Profitant de l’occasion pour octroyer un répit plus conséquent au jeune homme sous ses doigts, elle se redresse pour apercevoir Ethan. Captant le regard bicolore de ce dernier, elle ne peut s’empêcher de soupirer tout en levant les yeux au ciel, se demandant d’avance ce qu’il pouvait bien lui vouloir. Entre des remarques acides et des constats plus ou moins véridiques concernant l’Ulfric ou une simple proposition pour s’envoyer en l’air, Alena ignorait encore sur quel pied danser avec son interlocuteur. Le mieux encore serait de lui demander franchement les raisons de sa visite, ce qu’elle ne se gêna pas de faire, l’apostrophant depuis sa place, l’ombre d’un sourire amusé aux lèvres. « Qu’est ce qui t’amènes, me dis pas que je te manquais à ce point ? J’en ai encore pour une heure tu sais. Percevant le frisson de son client lorsqu’il comprend que ses souffrances sont loin d’être terminées, la louve ne peut retenir un sourire amusé avant qu’elle ne questionne l’humain à moitié dénudé, sur un ton innocent. ça vous dérange s’il reste dans le coin ? Je peux le foutre dehors sinon hein, c’est vous qui voyez. Le client est roi, encore une fois.  Euh… Je. Non, pas de soucis ahah. Elle l’imaginait déjà en train de serrer les dents à s’en péter la mâchoire juste pour ne pas laisser sous-entendre à Ethan qu’il douillait comme pas permis, en tous les cas il venait de prendre sa décision et la blonde indiqua ainsi en un coup d’œil à son comparse qu’il pouvait par conséquent traîner dans les parages. Comme convenu toutefois du travail l’attendait encore si bien qu’elle n’attendit pas pour se remettre au boulot, soudainement plus pressée d’en finir. Cela se ressent probablement, elle ménage moins le Norme et si elle n’accélère pas l’allure pour autant, peu envieuse de louper un trait, elle lui laisse moins souvent l’occasion de souffler, ne se souciant pas le moins du monde des couinements qui lui échappent encore et toujours. Cela devait probablement amuser le visiteur du jour mais elle ne commente pas pour autant, ne pouvant cependant s’empêcher de jeter quelques coups d’œil au concerné, vérifiant ainsi ce qu’il faisait. Il faut dire qu’il se trouvait sur son lieu de travail, un travail qu’elle appréciait pour diverses raisons, si bien qu’elle se sentait maîtresse des lieux. Là où elle demeurait au rang de dominée au sein de la meute, ici elle avait l’impression d’avoir les pleins pouvoirs et probablement étais-ce le cas. Arrête de fourrer ton nez dans mes affaires. Tout ne t’appartiens pas ici. » Malgré le sérieux de sa demande, à moins qu’il ne s’agisse d’un ordre, cela ne l’empêche pas d’arborer cet habituel sourire, un peu moqueur, un peu franc aussi. Tout ne lui appartenait pas non, ou alors jamais plus que le temps de galipettes sur l’oreiller, ce qu’elle ne nie absolument pas. Quoi qu’elle en dise, malgré les engueulades et les désaccords, elle appréciait toujours sa compagnie et n’avait pas besoin de l’exprimer à voix haute pour que cela se sache.
code by Silver Lungs


Dernière édition par Alena Hodson le Mar 3 Fév 2015 - 18:39, édité 1 fois
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Ethan Ferrell
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Ethan Ferrelldrag my teeth across your chest to taste your beating heart ƒ 1




Pseudonyme : XII
En ville depuis le : 22/01/2015
Nombre d'insultes postées : 54
Célébrité : Kivanc Tatlitug
Âge du personnage : 1185 ans, 30 d'apparence
Métier : Projectionniste


« Alors quoi, je te manquais ? [Pv Ethan] Empty
Message« Alors quoi, je te manquais ? [Pv Ethan] EmptyMar 3 Fév 2015 - 17:24

D’habitude, il aurait poussé la porte de l’enseigne sans même se soucier de ce qui se trouvait à l’intérieur ni même ce que la gérante y faisait. C’était le petit rituel du blond quand il venait rendre visite à Al en plein boulot. Ce n’était pas tous les jours non plus mais il le faisait depuis assez longtemps pour avoir ses petites habitudes quand il était à ses côtés. Sauf qu’aujourd’hui, il prit le temps de s’arrêter devant la devanture, là où entre deux affiches collées contre la vitre, son regard dépassait. Mais même avec la moitié de son visage, on devinait le large sourire qui abordait ses lèvres. Il couvrit  le contre-jour pour regarder à travers la vitre et d’un bref regard sur l’intérieur, il tomba sur la longue chevelure de la jeune femme déjà occupée avec un client. La devinant bien trop concentrée pour le voir, il prit quelques secondes pour scruter avant de se dégager de la vitre. Même quand elle bossait elle était sexy, pensait-il en une plainte silencieuse. Elle avait ce regard passionné souligné d’un sourire fier et le tout sur un air insouciant, trop concentrée pour relever ce qui l’entourait. Il préférait tout de même quand c’était lui qu’elle regardait avec tant de passion. Soupir. Il voulait simplement lui proposer un repas mais son esprit imaginait déjà tout autre chose.  Mais avec un peu de chance sa présence l’agacerait suffisamment pour le remettre à sa place et donc le refroidir. La seconde suivante, il avait poussé la porte du salon et s’était avancé discrètement à hauteur du comptoir. Néanmoins pas assez silencieusement pour ne pas se faire repérer par le regard  bleuté de la blonde. Instinctivement, accompagné d’un sourire enjôleur, il lui fit un bref signe de main en guise de salutation. Et il n’eut le droit qu’à un soupir et des yeux levés au ciel. Ca y est, il était déjà refroidit. Bras croisé, l’air faussement vexé, il s’était planté à l’entrée, ce qui les forçait à avoir un début de discussion devant son client au dos nu. Il un haussa un sourcil à ce détail, s’imaginant l’avoir dérangé, sans doute, dans un rapprochement intime qui, forcément, n’aurait pas plu au loup. « Tu me manques toujours ‘à ce point’ Blondie. Il ne savait pas vraiment ce que signifiait ce ‘à ce point’ mais elle l’avait dit comme si lui dépendait d’elle. Eh. D’habitude c’était lui qui mettait son égo en avant. D’un haussement d’épaule il lui fit part de son indifférence au fait qu’elle devait encore travailler. S’il avait été censé, il serait parti l’attendre en terrasse qu’elle finisse avant d’entrer ici, ou même d’appeler pour prévenir. Donc il se doutait bien qu’elle ne pouvait se mettre à sa disposition dans l’immédiat. Ce dont il ne doutait pas néanmoins, c’est qu’elle utilise le norme comme prétexte pour le foutre dehors. Comme si elle en avait quelque chose à faire du confort de cet humain. Il eut un sourire amusé, bien que crispé et attendit la réponse de son client, le regard planté sur son dos. Et ce dernier avait dû sentir l’insistance qu’il avait mis dans ce regard, comme l’aiguille de trop sur sa peau pour signaler qu’il y avait aucun souci. A moins qu’il souffrait trop pour se soucier de sa présence. M’enfin, qu’importe. Manquerait plus que ça que je dérange. Mais faîtes comme si j’étais pas là, je sais me faire tout petit. »


Il savait surtout comment s’occuper pour ne pas devenir trop envahissant. Il avait jeté un rapide coup d’œil sur le dessin qu’était en train de tatouer la jeune femme, par simple curiosité, puis s’était détourné. Jamais il ne remettrait en cause son travail, il avait bien le mérite d’être respectueux sur ce point. Et dieu sait que son respect était une denrée rare.  Il aimait simplement voir ce qu’elle ce dont elle était capable de ses petites mains alors que lui passait ses soirées à empiler des bobines poussiéreuses dans le noir. La devinant trop occupée, il se glissait derrière ce qui lui servait de comptoir et s’assit sans l’ombre d’une gêne. En fait, même si elle n’était pas occupée, il se saurait permis. Quelques minutes plus tard, lui qui se voulait patient, il s’était déjà avancer sur son siège pour mettre la main sur toutes les feuilles qui traînaient sur le meuble. Il mit rapidement les papiers administratifs dont il ne comprenait rien et il s’était attardé sur les dessins rassemblés ou désordonnés. Qu’importe, une fois passés entre ses mains, rien ne serait en ordre. Il était décidément insensible au désir qu’éprouvaient les normes à vouloir se marquer la peau de ces dessins, ces symboles que trop évocateurs ou totalement dénudés de sens. Il levait les yeux au-dessus du meuble qui le cachait quand il entendait l’homme gémir de douleur puis esquissait un sourire en la voyant tantôt soupirer, tantôt amuser. Il devait bien avouer que sur elle, ça la rendait encore plus désirable. Mais ce gringalet qui se donnait des faux airs avec un dragon terrifiant, c’était ridicule. C’est pour cela qu’il avait du mal à saisir l’intérêt de la blonde sur le dos de son client. Son regard basculait entre elle, enfin eux, et les feuilles qu’il avait en main qui n’étaient que prétexte pour s’occuper. Il n’y pouvait rien. Il avait besoin de cette part de contrôle.
Sortit de sa ronde du regard par la voix d’Al, Ethan releva la tête une bonne fois pour toute en pensant croisés ses prunelles. Néanmoins elle semblait n’avoir d’yeux que pour cet humain encore. Tout ne t’appartiens pas ici. Son sourire s’élargit à ses lèvres et malgré sa remarque, il avait toujours les mains sur ses affaires. « Désolé, c’est plus fort que moi. Il fallait bien que je m’occupe. Il entassait mécaniquement tout ce qu’il avait déranger sans se soucier de leur ordre puis il quitta sa chaise pour s’approche d’elle. En quelques pas, il arrivait à sa hauteur et ralentit une fois dans son dos. Puis bon… Je possède déjà le plus important, le reste n’est que fioritures. » Il l’avait elle, entre ses griffes et ses crocs. Et ça lui suffisait largement. Il savait qu’il n’avait pas besoin de préciser, pour elle, ce quelque chose de si important qu’il le rendait si fier. Mais il voulait provoquer la curiosité de ce norme. Qu’il ne s’imagine rien. Elle était sienne, c’était à en devenir mauvais. Il se rappelait désormais pourquoi il n’allait pas si souvent lui rendre visite à son travail. Puis il souligna sa dernière réplique par une subtile caresse le long du bras de la tatoueuse, glissant jusqu’à sa nuque dans l’espoir de la sentir frissonner sous le bout de ses doigts. Ethan saisit une chaise qui traînait et vint s’asseoir non loin d’eux, bien décidé à l’attendre en faisant la discussion. « Alors le vilain dragon c’est pourquoi ? Pas pour draguer j’espère, parce que ça a l’air plutôt foiré là. Surtout que bon, il y a que les dragons orientales qui sont royaux, là vous venez de vous faire tatouer Lucifier vu par les fanatiques de Jésus. Aïe ? » Il rit aussitôt sa remarque lancée tandis qu’il s’asseyait à l’envers, posant son torse contre le dossier. Puis il avait prit cet air faussement concerné par la bêtise qu'il venait de faire. Il l'aurait bien rassuré en lui disant que Lucifer ne ressemble pas du tout à ça, en connaissance de cause pour l'avoir affronter. Mais bon.

Ses yeux bicolores s’étaient plantés sur sa victime qui décidément était surement en train de passer la pire journée de sa vie. Et elle serait inscrite à jamais sur sa peau. Si ça, ce n’était pas magnifique.
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