Nom + Foster. Un peu plat à ton gout, mais après tout, c’est à l’image de tes parents. Sans punch, sans vie. Juste Foster. Tu avais songé le changer, pour quelque chose d'un peu plus toi, mais maintenant, ton nom est associé à ton business. En changer, ça serait contre-productif.Prénom(s) + Calum. D’après tes sources, ça veut dire « pigeon » en latin ou une connerie du genre. Et bah qu’ils aillent se faire foutre, les latins.  Métier + Homme d’affaire. Ouais, ça sonne bien, « homme d’affaire ». Restons vagues sur la qualité de tes affaires, hein, c’est si peu important ! Allégeance + Tu ne prêtes allégeance qu’à toi-même. Le Haut-Conseil ? Ils sont sur ta liste. Tu les aime presque autant que les psychologues, c’est pour dire. On pourrait simplement dire que tu as un problème avec l’autorité – ce qui n’est pas entièrement faux- mais c’est plus que ça. Pour toi, ils représentent tout ce qui va mal dans le monde, dans l’Outremonde du moins.  Les Immortels, eux, te posent pas de problèmes, tant qu’ils viennent pas te marcher sur les pieds. C’est simple, vraiment. Le BFO, c'est encore une autre histoire. Ils veulent ta peau, ces crétins. Ils te recherchent arduement à ce qu'il paraît. Le simple fait que tu sois toujours libre montre bien l'étendue de leurs capacités, hein…  Traits de caractère + froid – hédoniste – cynique – excentrique – rhétorique – réfléchi - violent – peu confiant – loyal – fier – rancunier – charismatique – logique – discret – égoïste – coriace – autoritaire. Tu ne penses pas qu'il y ait beaucoup de personnes dans le monde – dans les mondes – qui t'apprècient. Qui te respectent, oui, beaucoup plus. Et après tout, c'est la seule chose qui t'importe, le respect. Tu n'aimes pas être sous-estimé, que ce soit dans tes capacités mentales et physiques ou dans ton sens du business. Tu penses être un homme d'affaire né. Tu sais te vendre, mais tu sais aussi vendre ton produit. Ca, tu le dois peut-être à l'éducation de que tes parents t'ont donnée. Formaté depuis la naissance pour pouvoir se défendre et défendre ce que tu cherches à vendre, et ce dans toutes les situations Mesdames et Messieurs ! Non, franchement, tes parents devraient être fiers de toi. A défault, tu es fier de toi-même. De ton parcours, de ta personnalité, fier d'être capable de faire tout ce dont tu as envie, que ce soit prendre la pute du quartier pour la semaine ou aller vendre le sang d'une orpheline sur le marché noir. Qu'ils essayent de t'arrêter ! Ils l'ont déjà fait une fois, voyez où ça les a menés ! Finalement, tu penses que c'est autant leur idiotie complète que ta personne qui t'ont sauvé, qui t'ont conservé ta liberté. Tes affaires, si elles sont fructueuses, tu les fait discrètement. Le BFO aura beau te rechercher autant qu'ils le voudront, ils ne trouveront rien parce qu'officiellement, pour les non-initiés, il n'y a rien à trouver. Tu t'en es assuré toi-même. Ton secret ? Ne faire confiance à personne, sauf soi-même. Certains disent que tu n'as pas de coeur. Que tu es un homme violent, authoritaire et égoïste. Tu es plutôt d'accord. Cependant, tu as tes propres limites, ta conscience comme certains l'appellent, que tu ne dépasseras pas, peu importe la situation. Tu es un homme d'honneur, au final. Un criminel loyal, mais un criminel avant tout. Et vous savez quoi ? Fier de l'être.

Tu passes ta main dans tes cheveux régulièrement. C'est un vrai tic nerveux. Par contre, tu n'autorises personne à ne serait-ce que s'en approcher. S'approcher de ton visage, même. Tu ne sais pas pourquoi, mais le contact à ce niveau de te rends plus que mal à l'aise, il te rend fou. Tu n'embrasses jamais les filles avec qui tu couches pour cette raison d'ailleurs. Peut-être que c'est une question d'intimité… - Tu as du mal à passer une journée sans cogner quelqu'un, ou quelque chose. Tu as besoin de te défouler, et ça, c'est pas vraiment de ta faute. Alors, pour éviter de trop abimer ton personnel lorsque ce n'est pas nécessaire, tu t'es mis à la boxe. Et y a pas à dire, tu gères vraiment. Si tu voulais te reconvertir dans quelque chose, ça serait clairement dans la boxe professionnelle. Pas qu'il y en ait beaucoup dans le coin, en fait. - Tu détestes le froid. Avec passion. La neige, la pluie, le vent, tout ça, c'est vraiment pas ton délire. Pourquoi vivre autant au nord alors ? A cause de ta clientèle. Maintenant que tu l'as fidélisée, partir serait idiot. Avant, tu ne pouvais tout simplement pas, financièrement.  De plus, trop bouger risquerait de faire des vagues auprès du BFO, et faut pas croire, mais tu préfères avoir froid et être de mauvaise humeur, que d'être enfermé en plus de tout le reste. - Tu ne crois pas en la monogamie. C'est entres autres pour ça (et parce que les filles que tu as fréquentées « régulièrement » t'ont qualifié de psychopathe -paix à leurs âmes) que tu n'as jamais eû de relation sérieuse, comme la plupart des hommes de ton âge. Le mariage, la vie de famille, tout ça c'est de la merde, selon toi. Tu veux vivre une vie de nombreux plaisirs, et pour toi, vérifier la qualité de l'herbe dans le jardin d'en face, ça en fait bien partie. - Tu es ambidextre. Pas par choix, pas par naissance non plus. Non, non, en fait, tu es né gaucher, mais ça n'allait pas à tes parents, qui trouvaient qu'être droitier, c'était beaucoup mieux. Du coup, on t'a forcé à te forcer, et maintenant, tu peux utiliser tes deux mains, ce qui est parfaitement inutile selon toi. - RANDOM : tu n'aimes pas les enfants – tu adores les animaux – tu préfères avoir affaire à des femmes, elles sont plus simple à manipuler – tu es intolérant au lactose, mais en fait, c'est plus le lactose qui est intolérant à toi – tu n'écoutes que du jazz et du vieux rock, le reste c'est de la merde – tu es fan de rugby – tu n'aimes pas lire, mais tu aimes être plus cultivé que les autres, du coup, bah tu lis.

Pseudonyme + arkenstone. Vous pouvez aussi m'appeler Moe ! Âge + 21. DIEU que je me fais vieille ! Fréquence de connexion + 2-3/7 jours. Principalement les week-ends je vais dire, mais ça va vraiment varier avec ma charge de travail scolaire et de travail tout court.  Groupe + Sorcier. Crédits + Gif de... tumblr ? J'en sais pas plus, on me l'à envoyé ! D= Avatar de Shiya par contre !

Code:

[color=crimson][b]casey affleck[/b] • calum foster[/color]

« Alors ? » Max se tait, un instant, les yeux vers le sol. Tu sais que tu ne vas pas aimer ce qui va suivre, pas le moins du monde. « Elle nous a échappés boss… Elle a dû sauter dans un bus ou se cacher dans une ruelle, parce qu’on l’a perdue sur… » Tu lèves une main, et il s’arrête de parler. Il sait que s’il ouvre de nouveau la bouche sans ta permission, ce sera probablement la dernière fois. Tu fermes les yeux et ta mâchoire se resserre, en même temps que ton poing, qui s’abat sur ton bureau. « Bande d’incapables, » tu murmures. « Comment est-ce qu’un groupe d’hommes surentraînés peut perdre une GAMINE DE VINGT PIGES DANS UN TROU COMME INVERNESS ?! ». Cette fois, tu hurles. Max ouvre la bouche pour répondre avant de vite la refermer en voyant ton regard glaçant. Ta question est légitime pourtant. La petite a passé dix ans à tes côtés, il paraît impossible qu’elle ait réussi à échapper à tes hommes comme ça, sans aide. Elle était à ta merci. Elle était à toi. Jamais tu n’aurais pensé qu’une telle situation puisse se produire. « Dehors. » Max te regarde, sans comprendre, et tu te lèves, en rage. « Toi, et tous les autres, je vous veux dehors. Vous ne remettrez pas les pieds dans les parages tant que vous ne l’avez pas ramenée. Compris ? » Tu t’arrêtes seulement à quelques centimètres de son visage. Tu sens l’odeur de la peur qui émane de tous ses pores, et l’adrénaline monte encore en toi. « EST-CE QUE C’EST COMPRIS ? » Ton poing s’abat à quelques centimètres de sa tête, sur la porte, et Max essaye de ne pas sursauter –probablement du mieux qu’il peut. « O-oui, boss. » Tu ne bouges pas pendant quelques secondes, tes yeux plongés dans les siens, avant de reculer d’un pas. L’homme en profite pour s’échapper, en volant presque. Tu restes immobilisé un instant, le temps de bien absorber l’information. Lou-Ann n’est plus là. Tu l’as perdue. Elle est loin de toi. Et là, all hell breaks loose. Tu claques la porte, balance le contenu de ton bureau sur le sol d’un coup de bras. Tu hurles, lance un verre sur le sol, et écrase ta main sur ton miroir. Puis tu fermes les yeux, cherche à te calmer. Tu focalises toute ton attention sur la douleur dans ta main et ouvres les yeux, l’observe. Le sang coule abondement, et tu le regarde, comme hypnotisé. Le sang rouge vermeil commence à s’imbiber sur la manche de ta chemise blanche. Tu te forces à détourner les yeux, et te sers un verre –le dernier qu’il te reste- de whisky, avant de t’asseoir sur le sol. Ton regard s’accroche sur les morceaux de verre qui jonchent le sol de la pièce de toutes parts. Ils attrapent les rayons du soleil et luisent presque, comme ses yeux. Tu resserres ta main blessée pour faire rejaillir la douleur, pour te distraire. L’espace d’un instant, l’image de tes parents circule dans ton cerveau. Comment ils réagiraient en te voyant dans cet état. Ce qu’ils diraient. Le regard que ta mère poserait sur toi. Le dégout. La honte. Tu souffles, pour évacuer ses idées de ton esprit. Tu as d’autres chats à fouetter Calum, ressaisit-toi. Tu bois ton verre d’une traite, et savoure la brulure de l’alcool dans ta gorge. Quelque part dans la pièce, ton portable sonne. Tu l’ignores, et retire les quelques morceaux de miroir de ta main. Tu auras probablement besoin de soins, mais peu importe. Elle n’a disparu que depuis quelques heures, et pourtant, tu ressens déjà son absence. Toi qui as d’habitude toujours dix mouvements d’avance, ça, c’est quelque chose que tu n’avais pas prévu. Soudainement cependant, d’autres problèmes se posent à toi, outre ton manque pur et simple. Tu as besoin de son sang. Il faut que tu la retrouves, tu n’as pas le choix. Et soudain, ça te frappe. Tu ne sais pas comment ça t’a échappé, pendant aussi longtemps. Tu reposes ton verre et te lèves, rapidement. Tu fouilles les poches de tes vêtements, les tiroirs de ton bureau, avant de trouver ce que tu recherches sur le sol, avec le reste de tes affaires. Tu attrapes ton portable et regardes tes messages. Tu grognes. Tu as rendez-vous avec un acheteur dans trente minutes. Tu regardes ta montre ; le rendez-vous devra attendre. Tu composes un numéro, et n’attends qu’une sonnerie avant que la personne ne décroche – comme tu t’y attendais. « Suivez le Haut Conseil. C’est eux qui ont la fille. » Sans attendre de réponse, tu raccroches et attrapes ta veste, empochant ton cellulaire. Sortant de ton bureau, tu claques de nouveau la porte, et fais sursauter ta secrétaire. « Je ne serai pas là à temps pour Cermait, retiens-le. » La jeune blonde pâlit, mais tu n’en as que faire. Tu as de plus gros poissons à flairer. Un poisson nommé Haut Conseil.